Salut belle gang du soleil qui se lève 12 heures plus tard que chez-nous... je veux dire qu'au Vietnam ! Je vous annonce à l'avance que le soleil est chaud ce matin... j'espère qu'il aura conservé un peu de sa chaleur pour vous autres dans quelques heures !
Je vous montre aujourd'hui des photos du site Cham de My Son qu'on a fait hier matin. De toute beauté, la sortie en valait le coût.
Je vous montre aujourd'hui des photos du site Cham de My Son qu'on a fait hier matin. De toute beauté, la sortie en valait le coût.
La cité perdue tiré de
http://www.linternaute.com/voyage/vietnam/le-centre-du-vietnam/monument/le-site-archeologique-de-my-son/
Situé à environ 30 km à l'ouest de HoiAn, My Son constitue un des plus vastes et surtout un des plus vieux sites archéologiques du Vietnam. Il s’agit d’un ancien centre religieux du Champa – royaume de culture hindouiste établi dans le Centre du Vietnam à partir du IIème siècle ap JC.
Les Chams (peuple du Champa) évoluaient dans la société de la même façon qu’en Inde, selon un système de castes. Les habitants de ce haut lieu religieux étaient uniquement des membres de la caste sacerdotale ou bien des monarques. Le centre religieux fonctionna pendant 9 siècles (du VIII au XVème), puis le tout fut abandonné, en raison notamment au déclin du peuple Cham. Il faudra attendre 1869 et la venue d’archéologues de l’Ecole Française d’Extrême-Orient, pour que My Son soit redécouvert et dégagé de toute la végétation qui l’avait recouvert. Il ne restait alors qu’une dizaine des 70 ouvrages d'architecture en brique et pierre, construits entre les VIIe et XIIIe siècles. Ces édifices étaient tous agrémentés de frises sculptés et autres ornements délicats, propres à l’art Cham. Un autre point commun rassemble les différents temples du site. Il s’agit du « lingam » (phallus en français) ou symbole de Shiva – protecteur des Chams. En effet, chacun de ces lieux de culte comporte au moins une représentation du dieu Shiva.
La diversité architecturale du site démontre le talent des artisans chams. Aussi, compte tenu de la majesté des lieux, on fait souvent le rapprochement entre My Son et d’autres sites archéologiques majeurs d’Asie du Sud Est, tels que Angkor, au Cambodge, ou Borobdur, à Java. De plus, il s’agit d’un rare, mais non moins remarquable, témoin de l’influence de l’Inde sur l’Asie du Sud-est, majoritairement dominé par la Chine à travers les siècles.C’est donc sans aucune surprise que le site est, depuis 1999, inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO. Outre son intérêt historique, My Son a la particularité d’être assez difficile d’accès. Ce qui promet une escapade aventureuse en plus d’une belle leçon d’histoire.
Situé à environ 30 km à l'ouest de HoiAn, My Son constitue un des plus vastes et surtout un des plus vieux sites archéologiques du Vietnam. Il s’agit d’un ancien centre religieux du Champa – royaume de culture hindouiste établi dans le Centre du Vietnam à partir du IIème siècle ap JC.
Les Chams (peuple du Champa) évoluaient dans la société de la même façon qu’en Inde, selon un système de castes. Les habitants de ce haut lieu religieux étaient uniquement des membres de la caste sacerdotale ou bien des monarques. Le centre religieux fonctionna pendant 9 siècles (du VIII au XVème), puis le tout fut abandonné, en raison notamment au déclin du peuple Cham. Il faudra attendre 1869 et la venue d’archéologues de l’Ecole Française d’Extrême-Orient, pour que My Son soit redécouvert et dégagé de toute la végétation qui l’avait recouvert. Il ne restait alors qu’une dizaine des 70 ouvrages d'architecture en brique et pierre, construits entre les VIIe et XIIIe siècles. Ces édifices étaient tous agrémentés de frises sculptés et autres ornements délicats, propres à l’art Cham. Un autre point commun rassemble les différents temples du site. Il s’agit du « lingam » (phallus en français) ou symbole de Shiva – protecteur des Chams. En effet, chacun de ces lieux de culte comporte au moins une représentation du dieu Shiva.
La diversité architecturale du site démontre le talent des artisans chams. Aussi, compte tenu de la majesté des lieux, on fait souvent le rapprochement entre My Son et d’autres sites archéologiques majeurs d’Asie du Sud Est, tels que Angkor, au Cambodge, ou Borobdur, à Java. De plus, il s’agit d’un rare, mais non moins remarquable, témoin de l’influence de l’Inde sur l’Asie du Sud-est, majoritairement dominé par la Chine à travers les siècles.C’est donc sans aucune surprise que le site est, depuis 1999, inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO. Outre son intérêt historique, My Son a la particularité d’être assez difficile d’accès. Ce qui promet une escapade aventureuse en plus d’une belle leçon d’histoire.
Et tiré d'un carnet de voyage:
Ce qui casse le rêve, c'est quand on sait que pour cimenter les briques, ils utilisaient une mixture d'escargots et de moules... les énormes cratères de trois mètres laissés par les bombes lâchées par les américains ont éventré de nombreuses constructions Cham en explosant. Quel gâchis, toute cette bonne bave d'escargot...
Il y en aurait des choses à retranscrire, et des dizaines de photos !
Bref, on a beaucoup aimé. J'espère que vous aussi
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